« J’agonise fort bien, merci » est un livre qui nous en emmène en Bretagne, au pays des croyances et des superstitions.

J’agonise fort bien merci – Oren Miller

J’agonise fort bien merci, l’histoire

Catherine, une dame respectable, a été retrouvée sur le chemin de sa promenade quotidienne. Evariste, son ami et dévoué notaire, décide de se rendre sur place afin de s’occuper de la succession. Aidé par son commis Isabeau, il se rend rapidement compte des incohérences qui entourent sa mort. Alors qu’il mène l’enquête, de nouveaux meurtres surviennent, plus horribles les uns que les autres. Au village, on murmure que le petit peuple invisible et les fées veulent se venger. Mais de quoi ? Ces entités étranges semblent être liées à l’affaire… tant qu’on leur accorde du crédit. Entre trahison, mensonge et réalité, les deux hommes auront du fil à retordre pour décortiquer le vrai du faux.


Il avait l’impression d’être plus grand, mais il réalisa que le col amidonné de sa chemise blanche, la rectitude du smoking croisé noir, et le galon de soie sur le pantalon le poussaient naturellement à se tenir plus droit. Comme si la préciosité du tissu permettait à elle seule à rendre fier. Était-ce pour cette raison que les riches avaient toujours l’air si prétentieux ? Était-ce une simple question d’amidon et de soie ?

Mon avis sur ce livre

Une première rencontre avec Oren Miller plutôt agréable. J’ai été attirée par ce titre étrange (peut-être un peu plus étrange que le contenu du livre en lui-même, d’où mon léger goût de « il manque un petit quelque chose »). J’ai néanmoins passé un bon moment et je me laisserai éventuellement tenter par un autre de ses livres !