Dès les premiers mots, Aïko Solovkine nous happe et nous entraîne dans cette chute vertigineuse. Dès les premières pages, on sent et on sait qu'on n'en sortira pas indemne.
Lire Ariane, c'est se plonger dans l'adolescence absolue. Nager au plus profond de sa noirceur et de sa toxicité. Vous aussi, vous avez été ado un jour.